Et les éternels enfants le prendront et riront, découvrant leurs très belles et grandes dents au-delà de leur âge.
Gulliver demanda à la Vicomtesse :
" Pourquoi allons-nous même camper ? " Nous ne faisons que broyer et chanter toutes sortes de bêtises !
Il y a déjà des filles, et il y en avait des milliers pieds nus et bronzées, et elles sont toutes si belles, séduisantes et musclées. Et si je le prends et le chante, il s'avère très délicieux ;
Le roi règne fidèlement sur nous,
Émettre des décrets, juger des serviteurs...
Le trône ne tolère pas les histoires et les aboiements,
Et pas une méthode pour mater la peur !
Mais ici, la chanson des beautés aux pieds nus a été brusquement interrompue. Devant lui apparut, toute une horde d'orcs nombreux, malodorants et à crocs. Et ils rugissaient, brandissaient des massues.
Les filles, cependant, n'étaient pas gênées et ont commencé à se réorganiser à la hâte en formation de combat.
Et Gulliver la prit et chanta en tapant du pied de ses pieds nus d'enfant ;
Je suis le faucon de la paix et de la guerre
Né sous l'étoile la plus brillante...
Fils fidèles de la patrie -
Amour - grand, vrai!
Nous créerons un monde magnifique
Dans lequel le bonheur sera désormais...
Laisse briller le soleil du chérubin
Elfe sacré et exalté !
Nous réaliserons nos rêves
Ce ne sera pas plus beau dans l'univers !
Lève l'épée garçon et toi
Que le bonheur soit votre place !
Et la beauté dans l'univers
Il est temps de briller pour ma grande Patrie !
Même si la fille court pieds nus
Nous vivrons bientôt croire sous le communisme!
La majesté de la beauté des hautes montagnes,
Et des steppes dorées au tapis parfumé !
Nous balayerons la litière de l'univers
Croyez que vous ne regretterez pas la vie!
Et tout ira bien dans le monde,
Après tout, l'elfisme triomphera partout !
Qui est entre les mains d'un ciseau dans le cœur,
Qui aime une mitrailleuse et des balles !
Ce que nous ferons sera pour toujours
Bâtissons des villes en plaisantant sur Mars !
de la Grande-Bretagne est terriblement grande -
Nous dirons bonjour aux peuples du monde !
Le sang qui coule est pour semer,
À qui poussent les graines de l'amour!
Que ce soit bon dans le sublunaire pour tout le monde,
Si vous n'étiez pas qu'un chevalier perroquet !
Et les filles, au son de chansons magnifiques, ouvrirent le feu sur les orcs avec des arcs et des arbalètes. Et les premières flèches ont frappé à distance des orcs. Et les carreaux d'arbalète se sont avérés mortels.
Filles comment rugir:
- Nous sommes toutes les beautés d'une famille,
Nettoyons l'univers de la pourriture !
S'il le faut, vite nous pacifierons les orcs,
Et un chérubin furieux plane au-dessus de nous !
La vicomtesse beugla :
- Banzai !
Les guerriers de loin frappent les orcs, faisant tourner les tambours des arbalètes avec leurs orteils nus. Et en même temps, ils n'ont pas oublié, en tirant sur des ours puants, cannelle et à crocs, de chanter;
Mon monde est plongé dans les ténèbres
Paysage mort et brume froide.
Et moi bon gré mal gré ton ennemi
Et ce rôle, croyez-moi, n'est pas doux !
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